Nono | Noyé dans l'océan, je caresse le flanc du grand léviathan

Pseudo: Néanteuse ou Pandomamy ou AngeÂge: 27 ansCe personnage est-il un multicompte? NonComment as-tu découvert le forum? LéliaAcceptes-tu l'intervention du MJ dans tes sujets? OuiSi oui, acceptes-tu les blessures? OuiCrédit avatar: Soy Sauce

Enoch Lewis Martin

Aurélien Cotentin (Orelsan)

Identité: Enoch Lewis MartinÂge & lieu de naissance: 14 septembre 1989 à Neuilly sur Seine, FranceOccupation: Assistant vétérinaireStatut civil: CélibataireOrientation sexuelle: IndéfinieParticularités physiques: Enoch a les cheveux mi-longs depuis son adolescence, pas toujours bien coiffés. Il mesure un mètre soixante dix-sept et a des kanjis tatoués entre chaque doigt : "
死" (Shi : mort), "心" (Kokoro : coeur, âme) et 音 (Oto : son) sur la main gauche et
川 (Kawa : rivière), 雨 (Ame : pluie), 道 (Dô : voie) et 森 (Mori : forêt). Ils sont tous relatifs à des concepts importants pour lui, ou qui le réconfortent.
Il ne se rase jamais très bien la barbe. Il a une chimère tatouée sur la nuque.

AscendanceHistoire

Ascendance divine: HadèsPouvoir: Echo - De façon assez aléatoire (il peut essayer de le contrôler et de le cibler sur une personne en particulier mais cela lui demande énormément d'efforts, surtout depuis qu'il a failli mourir), Enoch peut percevoir les morts qui sont liées à un endroit donné,
parfois même les revivre comme s'il y était. Parfois, il lui arrive aussi de ressentir les émotions du moment.Éveil: "Flippant/20", voilà comment Enoch décrit son éveil avec le recul. Quand il le décrit, car il déteste y repenser. Globalement, il faut savoir que le jeune homme déteste son pouvoir et préfère le voir se manifester le moins possible.
Enoch avait treize ans lors de la première manifestation de son pouvoir. Il était alors en voyage scolaire au parc national de Little Bighorn, rêvassant en retrait comme à son habitude. N'ayant strictement aucune connaissance de son ascendance divine, il crut faire un malaise quand lui apparurent des échos de la bataille de Little Bighorn. Des échos de cris, de douleurs intenses, des doutes se fondant en un désespoir immense. L'odeur du sang. La panique des chevaux.
Il perdit connaissance et lorsqu'il raconta -à contrecœur- ce qu'il avait vu à l'infirmière scolaire, celle-ci s'empressa de recommander "un des meilleurs psys de Manhattan" à ses parents car "je l'ai toujours dit, votre fils est trop sensible et trop solitaire pour que ce soit normal, ça va lui faire du bien". Deux punitions d'un coup. Un pouvoir qu'il a fini par considéré comme une malédiction et qu'il essaie d'étouffer tant bien que mal et devoir raconter sa vie affalé dans un fauteuil en cuir tellement cher que ça en est à gerber.

Enoch est né sous X, il n'a donc aucune idée de qui étaient ses parents biologiques. Sa mère était en état de dépendance avancé à diverses drogues. Le personnel soignant considère que c'est un miracle qu'il soit né sans aucun handicap. C'est la seule chose qu'il sait de sa mère biologique.
Le petit miracle fut adopté par un couple très aisé, un français, avocat international de droit des affaires et d'une mère anglaise, travaillant dans le domaine de la haute couture. Il possède donc la double nationalité. Il a également été naturalisé américain à l'âge de seize ans. Il a donc trois passeports. Spoiler alert : ça ne lui sert pas à grand chose.
Elizabeth McLaren et Thierry Martin se sont rencontrés à Londres pendant leurs études et se sont installés dans une riche banlieue parisienne quelques années plus tard. C'est ici qu'a vécu Enoch les cinq premières années de sa vie, avant que son père ne soit muté à New York. Enoch est resté enfant unique, car finalement, un seul causait assez d'emmerdes. Surtout avec le caractère que développait leur petit garçon. Rêveur et introverti, Enoch absorba toutes les peurs et les rejets de ses parents quant au monde extérieur, se renfermant dans son imaginaire. En effet, le couple a toujours eu peur que les origines inconnues de leur fils ne lui causent des problèmes, l'empêchent de s'intégrer dans la "bonne société" qu'ils tiennent en haute estime. Leur hantise -devenue plus ou moins réalité- étant qu'Enoch ne soit perçu comme un marginal, ne les rendent pas aussi fiers qu'ils le voudraient. Le regard des autres est extrêmement important pour eux.
"Toujours dans la lune celui-là" est une phrase qu'Enoch a entendu toute sa vie, à toutes les sauces, en anglais, en français. C'est vrai, il préfère son monde et ce qui se passe dans sa tête à tout le reste. Cela a pour conséquence de le rendre soit grognon, soit complètement paumé lorsqu'il se voit obligé de retourner à la réalité. Dans la tête d'Enoch, il y a des milliers de planètes, des combats de guerriers épiques, des espèces animales incroyables, des océans roses et des étoiles bleues, mais surtout pas de fantômes. Enoch est très peureux et peut-être sujet à des crises d'angoisse.

A l'adolescence survinrent les conflits, le garçon se sentant enfermé dans le carcan bourgeois imposé par ses parents, oppressé par la façon qu'ils avaient de le traiter comme un enfant malade tout en projetant toutes sortes d'attentes sur lui.
La maison de ses grands-parents maternels en Bretagne a toujours été son refuge, auprès des histoires et des tartes de sa grand-mère, seule personne capable de lui faire dédramatiser la vie et du calme distingué de son grand-père qui l'emmenait en mer chaque jour de l'été sur son petit voilier et lui lisait les aventures de Sherlock Holmes avant qu'il s'endorme.
Enoch a beaucoup exploré cette région -il y a passé les trois quart de ses vacances scolaires, quand il n'y était pas, il était chez ses autres grands-parents en Auvergne- et y est très attaché. Ce qu'il préfère, c'est l'océan. La nature en général l'apaise, mais il éprouve une grande fascination pour les grandes métropoles anonymes également, pour le béton, la solitude au milieu de la nuée.
Après avoir ses SAT et son bac au rattrapage, tenté un BTS en France, puis la fac à Seattle, il a voulu travailler. Ses parents, en désespoir de cause - Enoch avait été au bord du décrochage scolaire depuis son entrée au lycée, il ne ferait ni Sciences Po, ni Harvard, ni la London School of Economics - lui ont donné une petite somme d'argent et ont accepté de le soutenir dans cette démarche. Le jeune homme de vingt ans se fit embaucher comme vendeur dans une boulangerie française dont il se fit licencier au bout de trois mois -pas assez réactif, pas assez aimable-. Forcé à la débrouillardise et à sortir un peu de son cocon, il finit par trouver un job dans un bar miteux, dans le Bronx, assez loin de la petite coloc qu'il avait trouvée à l'origine. Ses nuits étaient courtes, ses journées passées à dormir, fumer ou simplement rester allongé sur le lit qu'il n'avait pas refait depuis son emménagement. Il finit par devenir un animal nocturne, trompant sa peur du noir via l'alcool et quelques drogues. Il s'était constitué tant bien que mal une bande de potes et eut sa première relation avec l'une d'entre elles. Ils se comprenaient sans trop parler, elle respectait son univers et c'était exactement ce qui lui fallait.
Enoch se trouvait alors constamment épuisé et commençait à réaliser qu'une grande ville voulait aussi dire beaucoup de morts, beaucoup d'échos, de souvenirs qui pouvaient se manifester à tout moment. Plus cela arrivait, plus il buvait, plus il fumait de cannabis ou se bourrait de champignons ou d'ecstasy, parfois, pour voir autre chose, aller ailleurs.
Une sorte de prophétie autoréalisatrice, ce que ses parents craignaient sans le nommer : né d'une mère droguée, condamné à finir pareil ?
Il s'endetta peu à peu et par devoir vendre ce qui le rebutait le plus au monde : sa "malédiction". Nombreux étaient les gens croyant aux fantômes, et qui voyaient en Enoch une façon de communiquer avec les défunts -ce qui n'est pas le cas, Enoch ne percevant que des souvenirs des lieux, des traces des morts, mais ça, ni eux ni lui ne le savent-, pour faire leur deuil ou obtenir des informations. Il monnaya ce service, au black, ce qui acheva de ronger sa santé mentale et physique. Son rejet de ses capacités malgré leur utilisation maintenant "volontaire" et régulière accentuèrent sa recherche d'échappatoire via l'alcool et les drogues et la spirale n'en finissait pas. Il ne se nourrissait presque plus, se fit larguer par sa copine et finit par arriver à un point de rupture. Un groupe de proches de victimes de l'attentat du 11 septembre lui demanda de se rendre près de l'endroit où se trouvaient les tours jumelles pour essayer d'entrer "en communion" avec les victimes. Enoch, amaigri, maladif et dans une sensation de dégoût permanent, rassembla ses dernières forces pour essayer de canaliser son don, fit l'une des expériences de son pouvoir les plus traumatiques qui soient, indescriptible, alla s'acheter plusieurs litres de vodka dans lesquels il tenta de noyer ses angoisses. Il réussit presque. L'hôpital dans lequel il se retrouva contacta ses parents et il fut rapatrié chez eux.
Après de longs mois passés en cure de désintoxication à essayer de faire le moins de vagues possible par égard pour ses parents et ses grands-parents qui étaient accourus à son chevet, Enoch essaya, pour la première fois de sa vie, de réfléchir à comment il pourrait être heureux, indépendant et se sentir en sécurité, ne serait-ce qu'un peu. Il avait beaucoup lu, miraculeusement aidé aux tâches ménagères, joué tout son saoul aux jeux vidéos, écouté ses morceaux préférés en boucle en dessinant les méandres de son mal-être et à présent il se sentait prêt à se relever, sortir du cocon offert gracieusement par l'argent parental pour aller créer le sien. Il ne voulait plus être dépendant d'eux -ou de qui que ce soit- voir chaque jour ses propres peurs décuplées par leurs regards, se soucier de ce que les voisins collègues et amis allaient penser. Alors il discuta longuement avec eux. Ils étaient disposés à lui payer une formation. Le regard d'Enoch se porta immédiatement vers un métier en rapport avec la nature et naturellement, il finit par savoir où se trouvait la sérénité : pour se sentir bien, il lui fallait être en contact avec des animaux. La formation qui lui conviendrait se faisait en trois ans et était professionnalisante, elle lui permettrait de devenir assistant vétérinaire.
Après un stage de fin d'études au Canada et six mois de recherche d'emploi dans une coloc à Londres, un an et demi d'assistant de recherche en laboratoire dans cette même ville, 3 ans en Bretagne et 2 ans sur la côte californienne, Enoch obtint son graal personnel : un poste à l'ASPCA (American Society for the Prevention of Cruelty to Animals) à New York. Il allait pouvoir aider les animaux de la ville dans laquelle il avait grandi.
Enoch est donc de nouveau installé à New York, depuis environ six mois, il s'est trouvé un petit appart, à Staten Island, pour être tout près de l'océan. Il commence à s'acclimater à son équipe de travail et évite consciencieusement ses parents. Il économise tout ce qu'il peut pour des vacances en Bretagne. La mort de son grand-père maternel a été un récent coup dur dans la vie du jeune homme et il a repris l'alcool, modérément, mais régulièrement.
Pour défendre son monde imaginaire, le trentenaire peut se montrer très désagréable en renfrogné, mais en réalité, il est surtout souvent désemparé par les contacts humains. Il lui arrive de cacher sa timidité et son incompréhension de la plupart des rapports sociaux par de l'agressivité. Lorsqu'il arrive à être gentil, il préfère, c'est plus reposant. Enoch n'est pas quelqu'un de malveillant. Il sait être généreux, à l'écoute et attentionné si les circonstances s'y prêtent. Cela n'arrive pas tous les jours car il a du mal à accorder sa confiance.
Il lui est également difficile de prendre des responsabilités et des faire des choses dont il n'a pas envie. Quand il était petit, c'étaient ses devoirs, maintenant, ce sont les tâches administratives ou le ménage. Toutefois, lorsqu'il aime quelque chose, il est capable de se donner à fond.
Pour échapper aux autres, il lui arrive souvent de mentir. Il se ment d'ailleurs souvent à lui-même et est d'assez mauvaise foi.
Dernièrement, il réfléchit à adopter un chien.

Bienvenue ! Hâte de lire ta fiche

Bienvenue, petit frère Heart

Bonne rédaction de fiche Cute

~~La France, meilleur lieu de naissance =>~~

Merci à toutes les deux Cute

Ewai, pourquoi pas la FRONCE ? *fuit*

Bienvenue frérot ^^
Bonne continuation pour ta fiche.

Encore une grande sœur Poséidon

Merci à toi !

Bienvenue!! J'aime ce qui se profile là, over-sensible c'bien un filston du roi des Enfers ça tea

Bon courage pour la suite, hâte de lire! Hey

le papa ! Merci beaucoup :3
J'ai fini je vais aller signaler ça de ce pas ^^

Bienvenue !!! Si heureuse de te voir là et de pouvoir faire des petits rp avec toi ici Heart

Kukuuu ! Eh bé ça me fait aussi BIEN plaisir parce que ça fait un bail !

Hey par ici, bienvenue à toi! Si tu as des questions, bah tu sais où nous trouver Wink

Merci beaucoup Giggle

ravie d'être ici !

MESSAGES : 1219 DATE D'INSCRIPTION : 22/10/2020

Validation

Félicitation, ta fiche est validée ! Prends un instant pour apprécier cette victoire... Ok, ça suffit, c'est l'heure d'aller visiter New York
Tu trouveras ci-dessous quelques informations essentielles à ta bonne installation parmi nous :

Première étape, remplir ton profil et poster ton Journal, afin que chacun puisse rapidement connaitre ton personnage.

Pour toute la gestion de ton personnage, tu pourras faire tes demandes par ici. Et pour ce qui est des points, ça se passe par là.

Nous te conseillons de surveiller les Annonces, c'est là que nous vous informerons de toutes les nouveautés. Et bien sûr, si jamais tu venais à t'absenter, n'oublies pas d'en informer tes partenaires en postant là-bas.

Enfin, si tu as le moindre problème, qu'il concerne le rp, le forum ou autre, n'hésites surtout pas à MP un membre du Staff. Nous nous ferons un plaisir de t'aider.

Bon jeu ! Superman