Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Lélia Şahin • I'm only human after all
Lélia Şahin
Mortal
Lélia Şahin
https://zeusontinder.forumactif.com/t676-lelia-sahin-o-i-m-only-human-after-all https://zeusontinder.forumactif.com/t680-lelia-l-avenir-peut-s-eveiller-plus-beau-que-le-passe#6787
ÂGE : 32 ans
OCCUPATION : Éclairagiste dans un théâtre de Broadway
SIGNES DISTINCTIFS : La cicatrice de la césarienne est encore boursoufflée sur le bas de son ventre et raconte une histoire qui fait sourire les gens. La brûlure sur son poignet, en revanche, raconte trop d'histoires : toutes celles que Lélia invente pour ne pas avoir à se rappeler ce souvenir.
Et puis il y a tout le reste contenu dans son mètre soixante-huit. Des longs cheveux bruns, des yeux qui virent entre le vert et le noisette, des poils de chats sur ses habits, un accent qui colore ses mots
COULEUR RP : #990099
AVATAR : Pınar Deniz
CRÉDITS : Google & moi
MESSAGES : 213
DATE D'INSCRIPTION : 23/02/2022
Pseudo: BételgeuseÂge: Pile poil entre 25 et 30Ce personnage est-il un multicompte? NonComment as-tu découvert le forum? Tout est de la faute de DamianAcceptes-tu l'intervention du MJ dans tes sujets? OuiSi oui, acceptes-tu les blessures? OuiCrédit avatar: Google


Lélia Şahin
Pınar Deniz

Identité: Lélia Şahin, un prénom tout droit hérité de l'oeuvre de la grande George Sand ; et le nom de sa mère, qui rappelle ses origines turques et qui peut être traduit par Faucon, Aigle. Deux ailes offertes dès la naissance pour lui laisser conquérir tout un ciel de liberté.Âge & lieu de naissance: Lélia pointe le bout de son nez le 9 septembre 1990 dans la belle ville de Paris. Au loin s'élance la tour Eiffel, l'arc de Triomphe, toute une culture dans laquelle la gamine apprendra bientôt à marcher, courir, vivre.Occupation: Technicienne du spectacle, plus exactement elle est éclairagiste et s'occupe de faire la lumière sur la scène, d'allumer les soleils du ciel des comédiens et comédiennesStatut civil: Mère célibataire, ce n'était pas ce qu'elle avait prévu, pas forcément ainsi qu'elle avait vu sa vie. Elle aime son fils pourtant, plus que tout. Mais être maman n'est pas vraiment le rôle qu'elle imaginait devoir un jour tenir dans sa vie.Orientation sexuelle: Pansexuelle, la couleur des âmes avant toute chose, le genre importe peu dans son esprit.Particularités physiques: Il y a la plus évidente, la cicatrice de la césarienne qui court sur son bas-ventre, marque qu'elle n'a pas choisie et qui s'est installée pour toujours, déchirure de la peau. Il y a la plus magnétique, des yeux qui oscillent entre le vert et le brun, comme s'ils n'avaient jamais été véritablement capables de choisir. Il y a la plus déroutante, ce sourire mystérieux qui lui colle souvent aux lèvres, comme un piège qu'elle n'aurait pas vraiment conçu. Il y a la plus douloureuse, celle qui rappelle les mauvais souvenirs, la marque de la brûlure au poignet et dont elle préfère inventer la provenance avec une pirouette blagueuse plutôt que d'en révéler la véritable nature. Et puis il y a tout le reste, ses 1m68 lambda, sa chevelure brune qui se jette dans son dos, ses dents de sagesse qui ne se sont pas décidées à pousser en 31 ans, la manière dont son corps penche légèrement sur la gauche lorsqu'elle marche, cette jambe qui bouge nerveusement dès qu'elle s'assied plus d'un quart d'heure, les poils de chat qui parsèment ses habits, sa manière de buter sur certains mots en anglais et cet accent qui se teinte de sonorités françaises, arabes et turques, les traces de bave quand son fils s'endort enfin sur elle et qu'elle n'a pas le temps de se changer..  


Que pensez-vous du panthéon grec de l'antiquité ? Y avez-vous déjà donné plus de considération que lors des leçons à l'école ? C'est loin tout ça, quelque part dans ses souvenirs du lycée... à moins que ce soit le collège ? Il y a bien quelque part dans sa tête le voyage d'Ulysse qui traîne ; ou Hercule parce que mais surtout la version Disney. Mais sincèrement, Lélia a toujours préféré la mythologie égyptienne et sa culture développée sur 4000 ans, n'en déplaise à Homère. Ses connaissances sur le sujet sont relativement basiques et, si on gratte trop loin, elle sera obligée de faire un tour sur Wikipedia pour pallier à son manque de connaissance sur le sujet.Quel est votre état d'esprit à l'idée que de véritables divinités puissent se trouver parmi nous, peut-être en train de faire du shopping dans la même boutique que vous ? Cette idée lui paraît complètement irréaliste. Elle n'arrive déjà pas à comprendre ce qu'elle a vu le soir où elle a surpris Luke en train d'utiliser ses pouvoirs, alors projeter cela à toute une mythologie... c'est au delà de l'imagination

Once upon a time...
Jeune enseignante de la Sorbonne, elle avait quitté sa Turquie natale quelques années auparavant pour étudier la littérature francophone à Bruxelles et débarquait désormais à Paris. Étudiant en dernière année de littérature, lui a toujours vécu en France, ses parents ayant quitté le Liban quelques années auparavant. C'était une époque différente, de celle où on fumait dans les bars, au-dessus de sa bière, où les étudiants n'étaient pas vissés à un téléphone entre deux - ou pendant les  - cours. De celle, moins différente, où les âmes utopistes pensaient pouvoir sauver la Terre.
À force de se croiser dans le même café le matin, dans les mêmes couloirs de la Sorbonne, dans les mêmes réunions du parti communiste, ils avaient fini par tomber inexorablement amoureux. C'était aussi simple que ça. Une histoire en filigrane en parallèle de toutes les passions qui les avaient réunis, une histoire qui ne les empêchait pas d'aller voir ailleurs, parce que les limites de leur relation s'était construites ainsi, sur une manière moins conventionnelle de voir le monde que ce que leurs propres parents leur avaient transmis. Lui vivait toujours dans la colocation dans laquelle il avait traversé ses études - il était désormais prof au lycée - quand elle avait un petit appartement à quelques arrêts de métro de l'université, lorsqu'elle était tombée enceinte. C'était la suite logique de leur amour et les jeunes parents en herbe avaient accueilli cet enfant avec bonheur. Sa mère lui lisait déjà du Baudelaire quand elle était dans son ventre, quand son père voyait une raison de plus de descendre dans les rues manifester, celle d'offrir à sa fille à venir un monde meilleur. Ensemble, ils décident de lui donner le prénom de Lélia, en hommage à George Sand et à son roman éponyme.

First, she spreads her wings
Lélia grandit dans la littérature, au rythme des mots de la grande bibliothèque qui avale les murs de l'appartement de sa mère, sur la musique des rimes que son père lui récite les weekends, lorsqu'elle dort chez lui. Ses parents se voient de moins en moins, tombent amoureux d'autres personnes, c'est la vie qui avance et ils font toujours en sorte que tout se passe le mieux pour leur fille.
Élevée entre trois cultures, elle apprend le truc avec sa mère, l'arabe auprès de son père et le français dans les livres qu'ils lui lisent. Les mots et leur sonorité la fascine dès sont plus jeune âge ; elle a envie de les chanter, de les crier, de les laisser rouler sur sa langue toute la journée. Ils se confondent parfois dans sa tête, surtout sous le coup d'émotions fortes ; les enseignants conseillent à ses parents d'arrêter de mélanger les langues et de ne se consacrer qu'au français. Ils ne les écoutent pas. Résultat, elle doit redoubler une année.

She finds her light in the shadow
Le petit monde idéal des mots de Lélia s'écroule un peu sur elle. Quand elle commence le collège, on ne parle pas encore de harcèlement scolaire, pourtant c'est ce qu'elle subit. Même la littérature ne suffit pas à la libérer des bourreaux et ses notes s'écroulent en même temps que son sourire. Lélia a une année de plus que tout le monde, et pourtant elle se sent petite et plus basse que terre au point qu'elle ne veut même plus aller à l'école. Ses parents finissent pas la retirer de ce système qui ne lui convient plus et son père s'occupe de lui faire l'école à la maison.
Rapidement, ça va mieux. Il sait transmettre son savoir et, libérée de la pression des autres élèves, les choses acceptent enfin de se mettre en place dans sa tête et trouvent un sens. Cependant, ses parents ne veulent pas l'isoler tout à fait et cherchent à l'inscrire à des activités qui pourraient lui permettre de rencontrer d'autres personnes de son âge. Ils s'imaginent que le théâtre pourrait lui faire du bien, alors ils l'envoient sous le feu des projecteurs. Mais là-bas il y fait trop chaud et Lélia n'est jamais vraiment à l'aise. Il y a une chose qui la fascine, en revanche, se sont les découpes, la manière dont la lumière roulent sur les corps et les expressions, la table qui permet de gérer la magie derrière le public. Les coulisses bien plus que la scène. Son prof s'en aperçoit et lui propose d'assister le technicien lumières plutôt que de jouer sur scène. Sensibilité particulière, le technicien se rend compte qu'elle apprend vite quand ça la fascine autant et, le soir de la première, c'est elle qui est aux commandes avec lui à ses côtés, fier de sa nouvelle élève.

Then she flies away
Elle obtient son bac L. Pas brillamment, mais elle l'obtient. Qu'importe, elle ne prévoit pas de suivre la carrière universitaire de sa mère. Si tôt son papier en poche, elle enchaîne les théâtres pour leur proposer de s'occuper de leurs lumières. Apprentissage en direct, elle ne se laisse pas démonter face aux préjugés qui veulent que ce soit un monde d'homme où il faut parfois porter des choses lourdes ou conduire de gros camions. Ses parents lui ont toujours appris à ne pas se laisser aspirer et Lélia suit avant tout son coeur, sans s'embarrasser du reste ; cette fois les jugements qui ont assailli sa scolarité ne l'atteindront pas. Et puis elle est douée dans ce qu'elle fait, vraiment très douée.
Et un jour, les choses semblent enfin tourner au conte de fée. Lors du festival d'Avignon, elle rencontre un propriétaire d'un théâtre de Broadway venu voir un des spectacles sur lequel elle bosse. Il aime son travail et lui propose le graal : une place fixe, un job enfin stable, mais qui implique qu'elle traverse les États-Unis. Elle a 22 ans et toute sa vie en France, une connaissance encore scolaire de l'anglais. Pourtant elle n'hésite pas et traverse la moitié du monde pour troquer les immeubles Haussmanniens contre des buildings de verre et d'acier.
Ses parents lui ont offert des ailes après tout, c'est bien pour qu'elle les déploie.

Feathers shine under the spotlight
New York, le rêve américain, les paillettes. Elle n’avait pas imaginé découvrir une ville aussi passionnante en arrivant, et pourtant Broadway lui jette de la poudre scintillante aux yeux. Qu’importe si son appartement est minuscule, qu’importe si ses horaires sont indécents – ce n’était pas si différent en France et au moins, là, elle a l’impression que la ville vit de nuit avec elle également. Des lumières à chaque coin de rue pour celle qui les allume sur scène. Dans ce là-bas qui devient son ici, le théâtre lui ouvre les bras et son métier lui permet de voir un certain nombre de pièces. Et le temps file, sans vraiment qu’elle s’en rende compte, avalant sa jeunesse alors qu’au coin de son sourire commencent à se marquer les premiers éclats de ride.
Son monde se construit lentement autour d’elle également. Une bande de potes qui avec qui partager la vie, quelques aventures ici et là, deux chats trouvés dans la rue et qui se prélassent désormais sur son lit comme s’ils étaient nés dans un palace, les dizaines de bouquins dans plusieurs langues qui s’accumulent en pile dans son appartement et quelques plantes qui trônent fièrement dessus jusqu’au moment où l’un des félins s’y intéresse d’un peu trop près et grignote quelques feuilles.
Le temps a filé si vite que déjà le Nouvel An 2021 éclate dans la grande pomme et elle a trente ans. Plus rien ne l’arrête.


She let the devil in
Et puis au milieu des autres lumières, il y a lui. Luke, celui qu’elle a rencontré dans une manifestation pour le climat et avec qui elle a rapidement noué des liens. Ils partagent des valeurs similaires et tout semble tellement évident, une alchimie qui éclot comme un coquelicot brûlant entre eux, comme le feu passionnel qui les embrase lorsqu’ils débattent du monde gris qui les entoure, jusqu’au bout de la nuit, l’aurore les surprenant encore dans leurs idées pendant que la Terre continue de tourner. Il lui donne envie de prendre des pinceaux pour colorer les buildings de vert et de fleurs, puis de griller toutes les ampoules pour laisser seulement briller les étoiles. Des rêves de grandeur dans une amitié naissante. Une amitié et plus que ça. Parce qu’un jour, évidemment, tout bascule. L’alcool a pétillé trop fort dans leurs verres et dans leurs veines et cette fois, c’est un matin taquin qui les trouve endormis dans les bras l’un de l’autre, nus comme au premier jour. L’ivresse lui a volé les souvenirs de cette nuit-là, et elle le regrette, mais heureusement il y en a d’autres pour venir combler les trous dans sa tête.
Elle tombe amoureuse si vite Lélia, et elle ne pensait pas que ça pouvait être aussi doux et léger. Son quotidien se laisse bousculer par cette présence nouvelle et ça la fascine de voir à quel point tout peut être aussi simple. Elle qui n’a jamais été très à l’aise dans les relations, trouve une certaine évidence à celle-ci.


When the lights go out, the darkness remains
Elle ne sait plus ce qui l'a réveillée. Peut-être le passage rapide d’un chat sur elle, peut-être le bruit rebondissant d’une sirène sous sa fenêtre. Mais au creux de la nuit, le sommeil l’a quittée et elle n’est pas la seule à se l’être fait enlever. Le lit à côté d’elle est encore chaud, mais Luke n’y est plus. Sourire sur les lèvres, elle traverse la petite chambre sur la pointe des pieds dans l’espoir de le surprendre dans une insomnie qu’ils pourraient décorer à leur manière, glissant entre les draps pour éloigner encore un peu plus le sommeil.
Lorsqu’elle pénètre dans le salon cependant, son cœur s’écrase dans sa poitrine. Sous ses yeux de mortelle, elle voit ce que personne n’aurait dû voir. Le palmier papillon, nouvelle victime de ses chats et qui dépérissait à vue d’œil malgré ses soins, est en train de revivre sous les mains affairées de Luke. Et elle ne comprend pas Lélia, mais se retrouve la tête dans la cuvette, à vomir tout ce qu’elle a vu.
C’était un monstre en fait, un monstre depuis le début. Ça va à l’encontre de tout ce qui existe, et elle est incapable de le supporter. Alors elle lui demande de partir pour ne plus jamais revenir.
Elle ne veut pas le revoir.

You can’t keep the shadows out
Après cette nuit où tout a été ébranlé dans sa tête, où son petit monde s’est écroulé sur lui-même, elle passe une semaine au lit. Nauséeuse jusqu’à l’excès, l’oiseau pense avoir perdu ses ailes en même temps que son innocence.
Mais il faut bien reprendre le cours de sa vie, retourner au théâtre pour allumer les lumières. Le rideau ne s’est pas encore complètement refermé, et il y a des rôles à assumer avant de tirer sa dernière révérence. Alors la tête dans le brouillard, elle avance pour ne pas penser à ce qui s’est déroulé cette nuit-là, se persuader que tout ça n’était qu’un cauchemar, que Luke n’a jamais vraiment existé. Mais la nausée reste là, ancrée, refuse de la lâcher, tout comme le souvenir très net de ses mains sur la plante.
Jusqu’au jour où elle comprend que la nausée n’est pas simplement un héritage de cette nuit-là. Il y a autre chose qui couve, quelque chose qu’elle n’a même pas été capable de voir alors que son corps lui criait désespérément ses symptômes. Et quand elle comprend qu’elle est enceinte, il est déjà trop tard pour faire un choix.

He’s the light
Elle n’a jamais voulu avoir d’enfant, Lélia. C’était quelque chose pour les autres, des bouilles qui ne l’atteignait pas, un désir qui l’effrayait surtout. Et pourtant, il est là, et elle sent le poids de cet être à venir dans son propre corps qui se déforme. La grossesse la terrifie, tout comme l’accouchement, et combien de soir s’endort-elle en larmes dans son lit, le désir horrible de vouloir ouvrir les chairs pour en extraire celui qui vient tout bousculer.
Mais il est là. Il est là et elle s’attache. Elle se doute bien, qu’il pourrait être comme son géniteur, étrange, différent… magique ? Mais Lélia ne peut s’empêcher de l’aimer, avant même son premier cri.
Comme pour la punir de ses pensées, les complications ont cependant décidé de la bousculer. La grossesse se passe mal et à six mois elle est obligée de rester allongée chez elle, incapable de travailler. Et aux États-Unis, la société n’est pas tendre avec ceux qui ne travaillent pas, même pour des raisons médicales… Tout devient compliqué, elle transgresse les recommandations du médecin et tout se déclenche trop vite… À sept mois et demi, le 27 novembre 2021 elle doit être hospitalisée et le bébé doit être sorti. Ils n’ont d’autre choix que de procéder à une césarienne.
Elle devrait alors le haïr cet enfant, celui qui laisse une trace indélébile sur son ventre, celui qu’elle ne voulait pas, mais qui s’impose à elle. Et pourtant, lorsqu’elle sort des vapes, la jeune maman ne parvient qu’à fondre devant cet être si minuscule qu’à côté le monde paraît bien trop grand. Éclatée entre ses sentiments, elle est aux côtés de celui qu’elle nomme « Simon » – encore un hommage à Sand – dans chaque premier instant de sa vie, assistant impuissante à son combat contre cet univers trop vaste et qui cherche à étouffer les prématurés comme lui. Mais Simon est un battant, et si la mère ne veut pas abandonner l’enfant, l’enfant ne veut pas abandonner la mère non plus.

However she’s a bad mother
Elle pourrait donner sa vie pour son bébé, et pourtant, elle galère. Celui que Lélia aime si fort est un mystère indéchiffrable à ses yeux, et les cernes qui se creusent un peu plus chaque nuit sous ses yeux, n’aident pas à le comprendre. Elle ne comprend pas pourquoi, lorsqu’il est dans les bras de ses amis, il se calme tout de suite. Ni pourquoi il refuse de prendre son sein, l’obligeant à rapidement basculer sur le biberon. Rien ne fonctionne et elle se sent épouvantable, mais soulagée lorsqu’elle le laisse à ses amis afin de pouvoir aller travailler sous prétexte qu’il faut bien qu’elle puisse payer leur loyer. La vérité, c’est qu’elle n’y parvient pas. Et si ça n’empiète en rien sur son amour pour Simon, ça ne l’aide pas à comprendre pourquoi tout est aussi compliqué, tout est aussi haché.
Elle a mal, Lélia. Elle a mal d’aimer ce fils qu’elle ne comprend pas, mal d’imaginer qu’un jour il puisse devenir comme Luke, mal d’être une si mauvaise maman.


En vrac :
Elle est végétarienne depuis qu'elle a 12 ans et vegan depuis ses 18 ans ☆ Elle parle rarement avec ses parents au téléphone ou par visio, mais leur envoie régulièrement de longues lettres pour leur parler de sa vie ☆ Ses chats s'appellent Aslı et Choderlos ☆ Elle est allergique aux carottes crues ☆ Elle maîtrise parfaitement le français, le turc et l'arabe (même si elle a plus de mal à l'écrit avec cette dernière langue), et a appris à bien parler l'anglais en 9 ans sur le territoire américain, même si elle peine encore parfois sur certains mots ou tournures de phrase ☆ Elle s'attache rarement les cheveux, mais quand elle le fait, c'est avec un chouchou à paillettes ☆ Ce qu'elle préfère mettre en lumière, ce sont les comédies musicales, et elle a un amour tout particulier pour Les Misérables ☆ Le livre qu'elle a probablement le plus lu dans sa vie, c'est Les Liaisons dangereuses ☆ Elle s'endort à chaque fois qu'elle va au cinéma ☆ Elle possède une tour Eiffel miniature, accrochée à ses clés


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Une mortelle ! Notre forum en manque drastiquement ! Hey
Bienvenue chez nous officiellement, j'espère que tu t'y plaira ! Heart
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Bienvenue, jeune mortelle !!
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Pourquoi on dit toujours que c'est ma faute ?
La faute a toi qui est faible et qui craque ! tea

Bienvenue et bonne chance pour le reste de ta fiche ! Angel
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Bienvenue officiellement ! Heart Heart

Quel personnage ! Tu m'étonnes que Pan l'ait kiffée ! What a Face
J'ai déjà posé une option pour un RP après validation, mais ça tu le sais déjà ! Smirk
Revenir en haut Aller en bas
Apocryphos
The hidden one
Apocryphos
MESSAGES : 1219
DATE D'INSCRIPTION : 22/10/2020
Validation


Félicitation, ta fiche est validée ! Prends un instant pour apprécier cette victoire... Ok, ça suffit, c'est l'heure d'aller visiter New York
Tu trouveras ci-dessous quelques informations essentielles à ta bonne installation parmi nous :

Première étape, remplir ton profil et poster ton Journal, afin que chacun puisse rapidement connaitre ton personnage.

Pour toute la gestion de ton personnage, tu pourras faire tes demandes par ici. Et pour ce qui est des points, ça se passe par là.

Nous te conseillons de surveiller les Annonces, c'est là que nous vous informerons de toutes les nouveautés. Et bien sûr, si jamais tu venais à t'absenter, n'oublies pas d'en informer tes partenaires en postant là-bas.

Enfin, si tu as le moindre problème, qu'il concerne le rp, le forum ou autre, n'hésites surtout pas à MP un membre du Staff. Nous nous ferons un plaisir de t'aider.

Bon jeu ! Superman
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
 
Lélia Şahin • I'm only human after all
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
Zeus Is On Tinder Now :: Origines :: Présentations :: Présentations Validées+
Sauter vers: