ÂGE : 32 ans OCCUPATION : ancien prof d'arts plastiques SIGNES DISTINCTIFS : Le bout des doigts parfois noircis par la cendre, ou bleutés par le froid.
Des tremblements fréquents, témoins de ce froid qu'il ressent. COULEUR RP : #b23321 AVATAR : Justin H. Min CRÉDITS : MNDΛX MESSAGES : 453 DATE D'INSCRIPTION : 06/03/2021
Pseudo: MNDΛXÂge: 27Ce personnage est-il un multicompte? NonComment as-tu découvert le forum? On m'a trainé, forcé et attaché Acceptes-tu l'intervention du MJ dans tes sujets? Oui Si oui, acceptes-tu les blessures? Oui Crédit avatar: MNDΛX
Ryan Kang
justin h. min
Identité:Ryan ; c'est lui, c'est tout. Ils l'ont gardé ainsi, pas besoin de le changer ni de lui laisser le temps de l'oublier et de le remplacer par un autre. (Wayne) ; nom d'adoption, nom qui n'est pas le sien. Nom qui ne lui appartient pas, dont il ne se sent pas proche, malgré l'amour et malgré tout. Un nom qu'il aime, mais qu'il ne veut plus porter. Indépendance et libération. Restauration. Réparation. Reconstruction. Kang ; le sien. Véritable. Assumé. Jamais dissimulé. Toujours révélé. Un souvenir qui n'en est pas vraiment un, le symbole d'une vie qu'il n'a pas eut la chance de vivre, d'un destin qui aurait pu être le sien dans d'autres circonstances. Âge & lieu de naissance:Trente-deux ans, enfant d'une vie qui n'est pas vraiment la sienne. Mais qui l'est devenue. Né en Californie, de parents qu'il n'a pas connu, qui ne l'ont pas élevé non plus. Parce qu'ils n'avaient pas pu. Parce que le temps leur manquait. Un sort tragique qui vint s'abattre et les séparer de lui, forçant le dernier des deux à le laisser, l'abandonner. L'offrir aux bras d'un autre, d'un camarade, pour qu'on puisse lui offrir ce qu'eux n'avaient pas pu.Occupation: Des études poussées jusqu'au bout, mais sans y trouver le succès tant désiré. Alors, un rebond compliqué mais malgré tout trouvé dans l'éducation, à apprendre à des adolescents qui n'écoutent que d'une oreille. Statut civil:Célibataire, parce que ça ne marche pas. Parce que les gens changent. Parce que les cœurs se détachent et les liens se brisent. Mais tout ira bien. Tout ira mieux. On ne peut rien y faire, et ce n'est pas grave. Orientation sexuelle: Silhouettes, figures et formes qui se rencontrent et se ressemblent, sans prétexte ni faux-semblant ; amour des hommes, de leur existence, de leur présence et de leur plaisir.Particularités physiques: Des tons d'or et diamant qui s'entrechoquent, manifestés par l'éveil et qui teintent ses lèvres et noircissent le bout de ses doigts ; mordus par le froid, rongés par les flammes. Des traces dissimulées, qu'il peut effacer, mais qui reviennent toujours. Des tremblements qui trahissent l'anxiété enfouie, tout autant que le froid qu'il ressent constamment, malgré la chaleur et les flammes.
Pouvoir:(Thermokinésie) : la faculté de pouvoir contrôler les vibrations moléculaires de la matière jusqu'à son embrasement et son incandescence ou, à l'inverse, jusqu'au zéro absolu. Un processus mental qu'il ne comprend pas lui-même, et qui prend quelques secondes à peine.
Son utilisation au travers d'un procédé qui se manifestera par des gestes ou des actions - un soutien parfaitement artificiel - mais qui permettra à Ryan de visualiser et d'ancrer cette faculté et sa complexité dans sa réalité pour mieux la comprendre et l'utiliser.Déclenchement:(TW: Armes à feu, tentative de fusillade en milieu scolaire, mort.) 11:00AMbzz. bzzz. bzz. Un appel manqué. Ignoré, plutôt. Il ne peut pas répondre, pas quand il est en plein milieu d'une leçon. Encore moins quand il a enfin réussi à avoir leur attention. Une semaine très longue, compliquée aussi. L’inquiétude à l’arrière de son crâne qui lui murmure que c’est important, qu’on ne l’appelle quasiment jamais et que, quand on le fait, c’est souvent pour lui annoncer une mauvaise nouvelle. Mais aussi la volonté de ne pas écouter cette voix pleine de mauvaises habitudes et de mauvais conseil, la repousser et lui faire comprendre qu’elle n’aura pas le dernier mot cette fois-ci. Il garde la tête haute et l’esprit concentré et consacré à ce qu’il était en train de dire avant d’entendre le bruit de son téléphone contre son bureau. Il tient.
12:00PM La sonnerie plus forte que lui, tout le monde ignore les derniers mots qui s’échappent de ses lèvres, le bruit des sacs et des chaises qui parcourent immédiatement la pièce et le font taire et grimacer, un peu agacé. — Tant pis, on finira la prochaine fois. soupiré pendant qu’au compte-goutte, ils disparaissent les uns après les autres, dans l’habituel brouhaha. Il éteint le projecteur, puis traîne les pieds jusqu’à son bureau. 1 missed call affiché sur l’écran de son téléphone, le prénom de sa sœur attaché. Elle ne l’appelle jamais. Elle préfère écrire, ou ne pas écrire. Surtout. Un sourcil haussé brièvement, avant d’être interrompu par un élève qui revient, avait oublié quelque chose, et, repart aussitôt. Il oublie d’écouter le message laissé sur son répondeur.
1:30PM La journée qui reprend, mais surtout, qui prend déjà bientôt fin. L'avantage de sa position. Des journées qui ne se font pas trop longues, mais qui n’en demeurent pas moins fatigantes. Trop souvent perturbées par du bruit, par le manque de respect de ses collègues, un prof d’arts plastiques ça ne sert à rien, c’est là pour faire garderie. qu’on lui répète souvent, trop souvent. Puis s’ajoute le stress de tous les jours, qui se fait de plus en plus grand chaque fois qu’on lui répète que le budget commence à manquer, qu’on lui répète qu’il faut qu’il se débrouille. Et puis, chaque fois qu’il essaie de faire quelque chose, chaque fois qu’il essaie de hausser un peu le ton ; on lui dit qu’il sera le prochain à partir s’il ne se range pas et fait avec ce qu’on lui donne.
2:44PM La fin de sa journée approche, elle est presque palpable. Et elle se ressent jusque dans son attitude, il est beaucoup plus relâché, détendu et à l'aise dans sa classe. bzz. bzzz. bzz. Un soupir s'échappe de lui, un peu trop fort. Cette fois, l'appel n'est pas manqué. Ce n'est pas sa sœur non plus. Tout est plus simple l'après-midi, alors il se permet de faire une pause dans ce qu'il disait à un élève pour décrocher, personne n'y fait attention, le cours n'était pas théorique de toute façon. Au moment de décrocher, c'est toute cette simplicité qui disparaît d'un coup.
Sa gorge se noue et il sent un poids l'écraser avec une rapidité déconcertante. L'un des agents de sécurité à l'autre bout, d'autres voix qui résonnent en arrière-plan. On lui répète de rester calme, de ne pas alerter sa classe. De faire comme prévu, comme prévu. Un phénomène trop récurrent, trop fréquent. Qui est trop lourd, trop difficile. Qui planait de manière menaçante au-dessus de sa tête, qui rendait chaque jour plus terrifiant que l'autre et qu'il s'efforçait de verrouiller au plus profond de ses pensées.
Avec une immense difficulté, presque insurmontable, il parvient à répondre. Sa voix est marquée d'un léger tremblement qu'il peine à dissimuler en face de l'élève avec qui il parlait et échangeait des rires quelques secondes plus tôt. Ses sourcils se sont recourbés dans une moue inquiète qui témoignent suffisamment fort de la gravité de l'appel. Des dizaines de scénarios se jouent dans son esprit, tous plus terribles les uns que les autres ; il se lève, son téléphone gardé contre lui, il ne faut pas raccrocher.
Il fait d'abord signe à celui avec qui il parlait, et ensuite attire l'attention de tous les autres. Il faut les convaincre sans les inquiéter. Leur faire comprendre que c'est sérieux sans que ce soit trop soudain. Éviter la panique. Éviter la panique. Il ne veut pas non plus leur faire croire que tout va bien, ils seraient facilement dissipés et à même de se faire remarquer, d'attirer l'attention sur eux et c'est tout ce qu'il ne veut pas. Il faut trouver un prétexte. Il réfléchit à toute vitesse, sans savoir quoi dire ni comment faire. Son esprit continue de répéter les scénarios terribles, et il se sent perdre un peu plus de son propre calme. D'une voix un peu tremblante, il essaie de dire quelque chose. Ils voient bien que ce n'est pas habituel. On lui demande ce qui ne va pas, il ne sait pas s'il doit répondre, s'il doit mentir, s'il doit dire la vérité. C'est trop de responsabilité d'un coup qui s'abattent sur lui. Des responsabilités qu'il ne devrait pas avoir à assumer. Il lui faut un prétexte, ses yeux errent et traversent la classe. Comme pour trouver une réponse. Il hésite.
2:46PM L'impression d'une éternité qui se déroule entre les mouvements discrets et les murmures partagés. Les inquiétudes, les peurs. Il n'a pas pu leur mentir. Ils auraient vu à travers sa propre peur que l'excuse d'un exercice n'était pas crédible. Dans le noir complet, recroquevillés contre les murs, sous leurs tables, dans des angles morts. À l'abri d'un regard extérieur. Les tables vidées de toute trace de leur présence. Le silence presque absolu autour d'eux.
2:47PM Un bruit lourd. Explosif. Tonitruant. Qui fait immédiatement sursauter, trembler et se déverser des larmes le long des joues de certains. Bang. Un autre. Les mêmes réactions. Des sanglots qui grincent et s'échappent. Qui essaient d'être contenus. D'être étouffés. Une main écrasée contre une bouche, des corps qui s'enlacent, des respirations qui deviennent bruyantes, agitées par la panique et la terreur. Un autre. Bang. Puis le silence. Complet. Absolu. Perturbé seulement par les bruits saccadés de sanglots qui continuent de s'échapper de plusieurs d'entre eux.
2:48PM Un silence qui dure. Qui inquiète encore plus que ces bruyantes explosions. L'impression du temps qui ne bouge pas. Que tout avance au ralenti. Qu'ils sont piégés là depuis des heures et des heures durant. La peur les immobilise, et en même temps, leur demande de s'enfuir. De profiter de ce silence absolu pour disparaître et retrouver un endroit sûr. Ce téléphone qu'il ne fallait pas raccrocher reste en ligne, mais demeure silencieux. Tout aussi soucieux de les garder en sécurité que de savoir qu'ils sont toujours là, sains et saufs.
Et tout à coup, dans un bruit qui les surprend tous, on entend à nouveau une voix. On leur dit que c'est fini et un soupir de soulagement s'échappe presque à l'unisson. L'angoisse et la précipitation qui poussent à se dire qu'il faut partir le plus loin possible à raison d'eux, et dans une hâte trop soudaine, ils se lèvent. Le cœur battant à toute vitesse soulagé autant qu'effrayé, Ryan leur fait signe de ne pas bouger. Ils ne sont pas censés sortir, au cas où ce ne serait pas véritablement terminé. Mais c'est déjà trop tard. L'impatience revient, le désir de liberté et de sécurité, le désir de partir d'ici et de rentrer chez soi, passe au-dessus de ses mots à lui. L'un d'entre eux ne l'écoute pas. Il se lève, puis sort.
Les autres s'en inquiètent aussitôt. Ryan aussi, évidemment. Il leur fait signe de rester là et de ne pas faire de bruit. L'un d'entre eux hérite de son téléphone qu'il tenait toujours dans les mains, un geste brusque et qui n'a pas été réfléchi. Simplement pensé comme la nécessité de ne pas faire de bruit. Il quitte la classe à son tour. Marche d'un pas prudent, à moitié recroquevillé, à la recherche de son élève déserteur.
2:50PM Le métal glacé contre sa nuque. Son corps qui ne répond plus. Figé sur place, terrifié. À se dire que tout est fini. Il se fait ordonner, se retourne lentement. L'autre veut voir son visage. Un plaisir malsain. La peur autant que l'espoir prennent contrôle. La peur d'être tué s'il n'obéit pas. L'espoir d'être sauvé s'il obéit. Un frisson s'empare de lui. Des sueurs glacées le traversent. Son corps tremble encore plus quand il voit le canon de l'arme pointé devant son visage. La créature en face de lui ne tremble pas. Le geste solide et assuré. Le pouce survolant à peine au-dessus de la gâchette, aucune hésitation. Leurs regards se croisent. Un sourire malsain et fier gravé sur le visage du meurtrier en face de lui. Un geste soudain fait sursauter Ryan, qui fait rire l'assaillant. Il approche son arme encore plus, touche sa chair et force un autre frisson hors de lui. Une larme glisse le long de sa joue, perle. Se fige lorsqu'elle touche le canon. L'horrible froid qui traverse Ryan s'étend, s'empare de sa chair, la fait bleuter puis craqueler.
L'arme figée contre sa joue. Le froid glacial qui s'étend autour d'eux. Puis avance, mord le canon de l'arme, recouvre le reste de celle-ci ; s'agrippe à la main de l'assaillant ; pointes et pics qui figent son poing serré sur place. Quelques secondes à peine qui paraissent avoir duré si longtemps. Un gémissement de douleur est arraché à l'homme armé, le froid trop intense qui brûle et qui ronge la chair fragile. La glace qui craque à chacun des mouvements, se reforme aussitôt, puis craque encore ; il parvient malgré tout à détacher un doigt de son emprise gelée. Mais au moment d'appuyer sur la gâchette, pour mettre fin à tout ça, la toute première étincelle éclate et explose dans l'autre direction. Elle ronge, dévore, et ravage tout sur son passage dans un torrent de flammes. La balle qui aurait dû éteindre Ryan est projetée avec. Elle traverse l'air en millions de minuscules fragments incandescents qui s'encastrent au sol, contre les murs, et dans les chairs du meurtrier. Un bruit soudain et épais comme seul signe que c'est terminé. Le corps sans vie de l'adolescent meurtrier, brûlé en plusieurs endroits, qui s'écrase au sol, quelques mètres plus loin.
Everything is going to be alright · ﹞Tout va bien, tout ira bien. Des mots qui se répètent depuis sa plus tendre enfance, depuis ses premiers jours. Dans les bras de parents qui n'étaient pas les siens. C'est la première chose dont il se souvient. Aussi loin qu'il puisse remonter dans le temps et dans ses souvenirs. Une voix douce, tendre, aimante, qui lui répétait que tout allait bien. Que tout irait bien. Des mots qui sont là, avec lui. Toujours. Tout le temps. Dans les pires moments comme les meilleurs. Des mots associés à une image invisible, un souvenir lointain et embrumé, le seul qui lui reste véritablement de ses parents biologiques.
God save me but don't drown me out · ﹞Agnostique. Un mot compliqué, prétentieux. Synonyme de ne rien savoir et de ne pas comprendre. Une façon polie de dire qu'on ne croit pas, en rien. Mais qu'on demeure malgré tout sensible, ouvert. Il a 14 ans quand il découvre ce mot pour la première fois. Ironie ou signe du destin, c'était un jour de messe. Traîné par ses parents jusqu'à l'église sans trop le vouloir, sans pour autant se rebeller et faire un vacarme monstre poure signaler son mécontentement. Il avait toujours été un enfant calme de toute façon, jamais vraiment du genre à hurler ou à se faire remarquer. Un désir de se faire plus petit, de disparaître et de se mêler à la foule. On le remarquait trop facilement, lui qui ne ressemblait pas à ses deux parents. Ce mot compliqué, qui ne veut rien dire et tout dire à la fois. Qui veut simplement dire qu'il sait qu'il ne sait rien ; ce mot lui convient.
Back to bed in California · ﹞Confusion, théorie du chaos. Âge de la révolte. Refus de comprendre, d'écouter. Faire le mur. Fuguer. Courir à en perdre haleine. La colère autant que le chagrin, force motrice de sa rébellion qui le poussent à vouloir des réponses que ses parents ne peuvent pas fournir. Qui le poussent à s'éloigner d'eux, à s'enfermer sur lui-même à la recherche de son passé. Des parents qui comprennent sa peine malgré tout, malgré la colère, malgré les insultes maladroites qui pleuvent par erreur et qui sont immédiatement regrettées. 19 ans, peut-être était-ce un peu tard pour s'enorgueillir d'une colère adolescente, peut-être. Fatigué par la contrainte qu'il s'était imposée à lui-même, cette peur de faire tâche. De ne pas satisfaire ou de ne pas être l'enfant qu'ils avaient voulu en le recueillant. Sans jamais se dire qu'ils se moquaient bien de ce qu'il pouvait être ou devenir, ils ne se seraient jamais pardonnés de l'avoir empêché d'être lui-même.
Joy is dangerous · ﹞ 24 ans. Ce chemin qui se dévoile devant lui, une route vers le succès, vers la réussite. Vers une évolution certaine, un avenir rêvé, qui l'a inspiré depuis longtemps. Découvert et parcouru au fil de longues études fatigantes, il est là. À portée de main, presque palpable. Suspendu devant lui, attendant d'être cueilli. Un diplôme, un titre, un poids dans la réalité qui ne serait pas dû à son nom d'adoption, qui ne serait pas lié aux cadeaux de ses parents. Quelque chose qu'il aurait pu obtenir lui-même, seul. Sans l'aide de personne. À cet instant précis, quand il fait face à ce chemin qui s'offre à lui, il se sent libre. Il se sent au-dessus de tout et de tous le monde. Il se sent jugé à sa juste valeur, pour une fois. La première fois depuis longtemps. Pas pour qui il est ni pour qui sont ses parents, mais pour ce qu'il vaut vraiment. Mais plus il se rapproche de cette route pavée d'or, plus les conséquences se montrent cruelles et mauvaises ; si proche du but, il doit tout abandonner. D'abord quand sa mère s'écroule dans la souffrance, frappée par le mal. Il doit rentrer, rester à son chevet. S'assurer qu'elle ne partira pas sans lui, pas comme sa mère biologique. Il ne veut pas passer un moment loin d'elle à ce moment précis. Son opportunité d'avenir, elle, ne peut pas l'attendre. Elle est offerte à quelqu'un d'autre, quelqu'un qui ne se soucie pas de son passé et d'un quelconque bagage émotionnel. Sans elle, ses études ne servent à rien. Il n'a plus qu'à reprendre à zéro. Se trouver une nouvelle carrière, un nouvel espoir.
Longing to linger · ﹞Un nouvel espoir qui se dévoile d'abord à lui par la guérison. Presque qualifiée comme miraculeuse quand sa mère ne souffre plus, libérée de toutes ses souffrances et de tout ses malheurs, comme s'ils n'avaient jamais été là. Un miracle qu'ils n'ont jamais su ou pu s'expliquer, pas plus que les médecins qui se le partagèrent. Une énigme sans réponse. Il aura la chance de fêter ses 30 ans, le sourire aux lèvres et sans le terrible poids d'un deuil qu'il n'était pas encore prêt à endurer. Un nouvel espoir qui permet d'oublier la tristesse d'un avenir manqué, complètement éradiqué par le bonheur absolu de la survie de sa mère.
Break the mold · ﹞Those who can’t do, teach. Maxime idiote et dévalorisante, mais qui malheureusement trouve sa justification et son existence actuelle dans sa vie. Une vie qu’il voyait si loin de tout ça, revenir sur les bancs de l’école, dans le sens inverse cette fois-ci n’était pas dans ses plans. Il ne se prétendait jamais avoir été pédagogue et encore moins ne se sentait l’âme d’un homme capable d’éduquer et de transmettre la moindre chose. Tout ce qu’il savait faire, c’était ce qu’il avait appris. Et tout ce qu’il voulait faire, c’était aussi ce qu’il avait appris. Si le MoMA n'a pas voulu l'attendre, il fallait malgré tout trouver une solution. Les opportunités n'étaient pas nombreuses, encore moisn attrayantes ou attirantes. Mais faute de mieux, il fallait trouver quelque chose.
OUI C'EST PAS COMPLET, JE SAIS, VOUS VOUS CALMEZ
Macaria
Gemma Visconti
ÂGE : 27 ans falsifiés, jeunesse éternelle dissimulée. IDENTITÉ DIVINE : Macaria, déesse de la mort bénie, gardienne des Elysées, princesse du monde souterrain. ASCENDANCE DIVINE : Fille d'Hadès & Perséphone. OCCUPATION : Bénévole à la Capa Roja. Santa Muerte cueillant les âmes à travers New York. Ex Restauratrice d'Art. SIGNES DISTINCTIFS : 1m64, silhouette gracile, apparente brindille aux teintures variées. Excentricité paradoxale, compensation d'un quelque chose qu'elle n'exprime pas. COULEUR RP : #66ad9a AVATAR : Katherine McNamara. CRÉDITS : ava. Heidi + sign. Violent delights. gif Thanatos <3 MESSAGES : 1051 DATE D'INSCRIPTION : 06/03/2021
Mon mignon Allez, remplis moi ça ! Que j'te dorlote comme il se doit
Zeus
Roman Hensley
ÂGE : Roman a 43 ans, une poussière dans l'océan du temps, comparé à mon âge véritable. IDENTITÉ DIVINE : Zeus, dieu de la foudre et du ciel, Roi des dieux. OCCUPATION : Après les dernières élections municipales, je suis désormais l'ancien Maire de New-York, actuellement sans emploi. SIGNES DISTINCTIFS : Sous cette forme, je mesure 1m75 et porte une belle barbe bien fournie, et pas l'ombre d'une cicatrice sur ma peau. AVATAR : Tom Hardy CRÉDITS : Ectra MESSAGES : 1288 DATE D'INSCRIPTION : 22/10/2020
Ooooh hâte de lire tout ça, j'aime déjà ce que dégage le perso hehe et le FC...! Rebienvenue
Mélinoé
Newenda Guédé
ÂGE : 29 ans, beaucoup plus en réalité IDENTITÉ DIVINE : Mélinoé ASCENDANCE DIVINE : Zeus et Perséphone OCCUPATION : Greffière / en cavale SIGNES DISTINCTIFS : Métis d'1m65 (peau noire et blanche quelque soit l'apparence)
Une crinière de lionne et un corps svelte
Un pendentif avec le symbole vaudou de Mama Brigit COULEUR RP : Goldenrod AVATAR : Maisie Richardson-Sellers MESSAGES : 298 DATE D'INSCRIPTION : 12/12/2021
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