Pour le premier des travaux, Eurythée envoya Héraclès affronter le Lion de Némée qu’on dirait que rien ne pouvait transpercer sa peau. Sans doute pensait-il que ce lion quasi immortel pourrait immédiatement tuer son cousin. A l’époque, Héraclès était encore tourmenté d’avoir tuer sa famille et aussi écœuré d’aider son lâche cousin qui ne faisait que l’humilier. Mais n’ayant pas trop le choix, il accepta d’aller affronter la bête. En chemin, il se fabriqua de solides flèches ainsi qu’un gourdin afin de tester la légendaire résistance du monstre.

Quand il se présentait aux gens de la région, il ne le fit point de beau discours où il se présentait comme fils de Zeus venu aider ceux dans le besoin comme il en avait l’habitude, mais plus comme un misthios engagé pour une besogne, tellement il était dépité. En tout cas, les gens de la région fut heureux d’accueillir un sauveur de ce prédateur qui ruinait leurs troupeaux et s’attaquaient aux pauvres paysans. L’un des habitants, un laboureur du nom de Molorchos, fut si ému qu’il proposa au héros de lui offrir un sacrifice afin de l’honorer comme un dieu. Héraclès se sentait indigne d’une telle reconnaissance et fit plutôt cette proposition, celle d’attendre un mois avant de faire son sacrifice. Si le héros perdait et mourrait dans la lutte, alors le laboureur pourra faire son offrande dédié à un héros mort. Mais s’il gagnait, alors l’offrande devra revenir à Zeus. Héraclès voulait se montrer humble et respectueux envers son père, mais aussi provoquer Héra un peu.

Après des jours de traque, pistant le félin monstrueux dans les plaines et forêt en suivant un sillage de mort, Héraclès découvrit sa tanière. Le lion était énorme et son pelage brillé comme le bronze au soleil. L’énorme bête s’était assoupie après son dernier repas et le héros fut horrifié de découvrir les restes d’un enfant entre ses pattes. Sans attendre, il décocha ses premières flèches, qui ne firent que rebondir sur l’épaisse cuirasse du prédateur et réveiller ce dernier. Une lutte acharnée se déroula entre eux. Héraclès usa de sa force avec ses poings et sa masse, mais rien ne semblait blesser le monstre. Voyant qu’il n’arrivait pas à avoir le dessus et se retrouvait grièvement blesser, le héros dut se replier et parvint à semer le monstre en se cachant dans un fleuve.

Les jours qui suivirent, Héraclès élaborait de nombreuses stratégies pour abattre le lion, établissant des pièges de toutes sortes mais aucun ne l’aidait à avoir raison du monstre. Se fatiguant à la longue et le temps qui s’écoulait, le héros était sur le point de déjà désespérait quand d’un coup il reçu un élan d’espoir, de volonté et qu’une idée lui fut souffler. (C’était en réalité Macaria qui l’aidait sans qu’il ne le sache vu avec la joueuse). Une nuit, attendant que le lion rentre dans son antre pour dormir, Héraclès fit s’effondrer l’entrée de la grotte pour être enfermer avec lui. Abandonnant ses armes, une lutte acharnée, l’ultime eut lieu. Héraclès arriva au bout de plusieurs minutes à entourer le puissant coup du monstre avec ses bras et serra le plus fort possible jusqu’à étouffer le lion qui finissait enfin par rendre l’âme pour de bon. Ne voulant pas trimbaler le lourd corps en guise de preuve, Héraclès utilisa les griffes du lion, eux seuls pouvant découpés sa peau, pour s’en faire un manteau et un trophée.

Libérant le passage en soulevant pierre par pierre, il put faire part de sa victoire aux habitants du coins, où Molorchos rendit comme convenu son hommage à Zeus. Le héros pouvait aussi s’enorgueillir de sa victoire, mais il était surtout fatigué, et presser d’en finir, déjà heureux d’avoir terminer le premier de ses travaux.

De retour à Tirynthe, le héros entra au palais et jeta aux pieds d’Eurysthée, assit sur son trône, la peau du puissant lion de Némée. Le roi fut si horrifier en voyant les restes du monstre et l’exploit accomplit par son cousin qu’il sauta terrifier de son trône pour aller se cacher derrière les rideaux derrière. Le coup de la jarre n’arrivera bien plus part étant une confusion dans le mythe. Derrière sa cachette, il ordonna à Héraclès de ne plus jamais remettre un pieds dans sa ville, mais qu’il déposera ses trophées devant les portes et ne parlera qu’à son héraut Coprée comme intermédiaire. Héraclès se mit davantage à haïr son cousin et se sentir si humilier par les dieux.

Pour le 8ème de ses travaux, Héraclès fut charger par son cousin Eurysthée de récupérer la ceinture d’or des Amazones, convoitée par une de ses filles. Se rendant dans la ville des célèbres femmes guerrières, ces dernières n’acceptèrent pas de voir un homme sur leur territoire. Tendant une embuscade, elles réussirent avec ruse et agilité à capturer le héros grec. Emmener devant la puissante reine Hippolyte, cette dernière se venta d’avoir capturer le champion des hommes et menaça de l’exécuter au cours d’un rituel. Héraclès expliqua alors la raison de sa venu, chercher la ceinture d’or d’Arès. Les amazones dans le palais furent choqué de la provocation et voulurent pour cela le mettre à mort sur le champ. Mais Hippolyte, impressionner par l’audace du guerrier, accepta de lui céder ce bien si précieux à la condition qu’il se mesure à elle dans une série d’épreuves faisant appel aussi bien à la force physique, qu’à  l’adresse et à la réflexion. Le vainqueur aura la ceinture, le perdant sera mit à mort.

Les deux champions s’affrontèrent alors. Si Héraclès se démontra fort et faisait preuve d’un peu d’ingéniosité, la reine elle était rapide et rusée. La battre se révéla plus difficile que prévu. Mais au fur et à mesure des épreuves, les deux rivaux finirent par tomber amoureux, admirant la force, le courage et l’esprit de son adversaire. Le jour où s’affrontaient avec hardiesse, mais la nuit, ils cherchaient à se retrouver. Aucune amazones ne le remarqua, mais une des sœurs d’Hippolyte, Penthésilée eut quelques doutes. Lors d’une épreuve de chasse, la princesse suivit sa sœur la reine pour la surprendre en plein ébats avec son amant. Furieuse, elle rappela à Hippolyte son engagement et ce qui était en jeu. Dans sa fureur, Penthésilée voulu tuer avec sa lance le fils de Zeus, mais Hippolyte voulu protégé son amant et c’est elle qui fut mortellement touchée. Mourante, elle remit à Héraclès sa ceinture.

Penthésilée, horrifiée par ce qu’elle venait de faire, accabla Héraclès de la mort de sa sœur. Les amazones la crurent sur le champ et traquèrent le héros pour le tueur. Pour s’échapper, Héraclès dut en affronter et tuer toutes celles qui se mettaient sur son chemin pour tenter de l’exécuter. Ce fut un vrai chemin de sang qu’il laissa derrière lui, mais arriva à rejoindre un navire et s’enfuir pour retourner chez son cousin et remettre la relique recouverte de sang.