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Zoe - Pleasure is mine
Zoe Lapointe
Hédoné
Zoe Lapointe
https://zeusontinder.forumactif.com/t976-zoe-pleasure-is-mine#9902
ÂGE : Physiquement, 33 ans. Dans les faits, quelques siècles en plus
IDENTITÉ DIVINE : Hédoné, déesse du plaisir, de la sensualité et de la volupté
OCCUPATION : Asphalteuse, belle-de-nuit, fille-de-joie, pute. Un métier vieux comme le monde et qui a presque autant de noms que j'ai eu d'identités.
SIGNES DISTINCTIFS : Je fais souvent vaciller mes 1m73 sur des talons aiguilles qui vont d'ailleurs de paire avec le rouge que j'applique en permanence sur mes lèvres - à croire que je dors avec. En débarquant à New York, j'ai coupé mes longs cheveux bruns en un carré plus mutin qui dégage mon regard foncé et mon air blasé en permanence. L'ancienne Zoe avait des marques partout sur le corps que j'ai - Zeus merci - effacées. La seule altération de cette peau que j'ai parfaite, est le croissant de Lune tatoué sur mon aine, en hommage à la déesse égyptienne Qadesh qui, si elle avait existé, aurait certainement été une bonne amie.
COULEUR RP : #009900
AVATAR : Taylor Lashae
CRÉDITS : AILAHOZ
MESSAGES : 75
DATE D'INSCRIPTION : 05/09/2022
MessageZoe - Pleasure is mine || Zoe - Pleasure is mine Empty06.09.22 0:29
Pseudo: BetelgeuseÂge: 28Ce personnage est-il un multicompte? OuiComment as-tu découvert le forum? On me l'avait soufflé à l'époqueAcceptes-tu l'intervention du MJ dans tes sujets? OuiSi oui, acceptes-tu les blessures? OuiCrédit avatar: AILAHOZ


Zoe Lapointe
Taylor Lashae

Identité humaine:Zoe LapointeÂge & lieu de naissance: Zoe est née le 2 février 1989 à Toronto où elle a d'ailleurs passé toute sa – trop courte diront certains – vie. J'ai repris son identité le 12 décembre 2021, toujours à Toronto. D'ingénieux calculs vous permettront donc de réaliser que mon enveloppe physique court sur sa trente-troisième années.Occupation:Asphalteuse, belle-de-nuit, fille-de-joie, pute. Un métier vieux comme le monde et qui a presque autant de noms que j'ai eu d'identités. Statut civil: Officiellement célibataire, dans les faits je me considère comme veuve depuis 1694Orientation sexuelle: Absolument tout ce qui vous arrange : quel que soit votre genre, votre plaisir deviendra mien. J'aurais donc tendance à dire pansexuelle. Particularités physiques: Je fais souvent vaciller mes 1m73 sur des talons aiguilles qui vont d'ailleurs de paire avec le rouge que j'applique en permanence sur mes lèvres - à croire que je dors avec. En débarquant à New York, j'ai coupé mes longs cheveux bruns en un carré plus mutin qui dégage mon regard foncé et mon air blasé en permanence. L'ancienne Zoe avait des marques partout sur le corps que j'ai - Zeus merci - effacées. La seule altération de cette peau que j'ai parfaite, est le croissant de Lune tatoué sur mon aine, en hommage à la déesse égyptienne Qadesh qui, si elle avait existé, aurait certainement été une bonne amie.


Identité divine:Déesse du plaisir, de la volupté et de la sensualitéPoint de chute: Dans la belle et grande Cyrène, ou plus exactement à une dizaine de mètres, dans la Mer Méditerranée. Une entrée humide dans le monde des humains. Pouvoir: Plaisir suprême – un simple contact physique peut procurer le plus pur des plaisirs, de la dopamine à l'état brut, un shot d'hormones. Plus le contact est prolongé et intense, plus le plaisir pourra durer sur la longueur et l'intensité (si elle vous serre brièvement la main, ça n'aura pour effet qu'un peu de bien être, si elle vous embrasse ça sera déjà tout autre chose…) Mythes: De moi, les humains connaissent surtout ce qui me précède : la belle histoire entre ma mère, l'humaine Psyché, et mon père, le Dieu Eros qui se piqua lui-même d'amour pour celle qui, au prix de multiples épreuves, devint finalement sa femme. Mariage qui fut comblé par la naissance de leur charmante et adorable fille - ce fut donc ainsi que j'apparus dans l'histoire.
Il faut croire que les humains n'avaient pas vraiment envie de me vouer un culte - ils préféraient me ressentir - et mes frasques, je l'avoue, sont timides autant qu'inintéressante. Sur l'Olympe du moins, car j'estime m'être rattrapée depuis la Chute. Quelle divinité peut se targuer d'avoir un courant philosophique à son nom ? Je crois avoir plutôt bien tiré mon épingle du jeu.
Le seul fait notoire sur ma vie passée est peut-être ma rivalité avec les Algos, trois des filles d'Eris. La douleur contre le plaisir en même temps, il n'est pas étonnant que nous soyons parties du mauvais pied et il est possible que nous ne nous soyons pas très bien entendues. Des taquineries, je vous rassure, souvent enfantine, je dirais presque même qu'elles me manquent un peu désormais, la vie est bien plus intéressante avec des rivales. Tant pis, je suis la déesse du plaisir après tout, je peux bien trouver ma propre voie en direction du plaisir.



La vie sans plaisir vaut-elle la peine d'être vécue ?

Mes débuts dans ce monde – votre monde – commence par un lourd plongeon. Femme de chair et d'os, me voilà soudain sortie de la Méditerranée couverte d'eau et de sel. Déstabilisée, sonnée, c'est un homme qui vint à mon secours, un de ceux que l'on nomme philosophe. Aristippe de Cyrène me recueillie, le temps que j'aille mieux, mais au fur et à mesure que je retrouvai mes forces, il vacilla sous mon charme ou, pour être plus exacte, sous le charme de mon pouvoir, ce plaisir que j'étais capable d'insuffler en lui, cette drogue qui dévalait ses veines, qui dévoraient chaque soupçon de qui il était. De cet être décharné tombé du ciel, je retrouvais ma puissance divine, certes bien lointaine de ce que j'avais pu être, mais pas non plus dénuée d'intérêt. Il tomba dans une dépendance de laquelle il était incapable de se relever, une dépendance à laquelle il voua sa vie, ses réflexions, sa doctrine. Il nomma même son école du nom que je lui soufflai lors d'une longue nuit de plaisir… l'hédonisme. La consécration du plaisir immédiat et constant, l'envie d'expérimenter chaque parcelle de volupté possible, une sensualité sans limite… Il m'adorait et, surtout, adorait ce que j'était capable de lui offrir – je ne parle pas là simplement de sexe, ça allait bien au-delà de ce que vos fantasmes sont même capable d'imaginer, un plaisir sans borne et sans commune mesure. Il ne pouvait plus se passer de moi, ne l'a jamais fait d'ailleurs, jusqu'à sa mort. Pour les autres, j'étais cette étrangère venue de la mer, puis avec le temps, je changeai d'apparence pour lui ressembler et, aux yeux de tous, être sa fille, son héritière, Arété de Cyrène. Les affres du sexe nous menèrent à l'inévitable et c'est ainsi que j'eus un fils – le petit fils d'Aristippe pour le monde extérieur. Et n'allez pas crier à l'inceste, c'était différent – et puis c'était le IVe siècle avant J-C, il était bien plus simple de faire croire tout et n'importe quoi à quiconque.
À la mort de mon amant, je repris quelques temps son école avant de la léguer à mon fils. Ce fut la dernière fois que je le vis, le laissant perpétrer le nom de sa véritable mère, la déesse Hédoné, à travers l'hédonisme. Ce n'était pas si mal, même s'il m'a un peu déçue, il faut dire que ce sot d'Épicure m'a fait de l'ombre et depuis, rien ne m'agace plus que lorsque l'on confond les épicuriens – et leur recherche insipide d'ataraxie – et les hédonistes. Mais l'Histoire ne se laisse pas toujours manipulée comme on le désire…

Les hommes et les femmes en revanche… il est si aisé de les combler, de leur ouvrir la porte de la sensualité pour les y perdre. Je crois que moi-même je m'y perdais un peu. J'allais de villes en villes, de pays en pays, changeant de visage au gré de mes envies, multipliant les corps que j'aimais emplir de désir en suivant mon pèlerinage. C'était facile, une vie de quiétude et de plaisirs, on m'acceptait partout, on m'adorait partout, j'avais presque l'impression d'être encore plus divine qu'avant la Chute, usant avec amusement de ce pouvoir qui m'emplissait. Tout était d'une telle simplicité ; j'enivrais les êtres de ma volupté et certains me désiraient pour toujours – mais je ne restais jamais longtemps, quelques mois, années tout au plus, et qu'est-ce dans la vie d'une éternelle ? Les humains s'attachaient férocement, mais je finissais toujours par partir et c'était là la déchéance pour eux ; appelez moi cruelle si vous voulez, mais tel est l'hédonisme : un plaisir immédiat qui dissipe le futur dans une brume insensée. Ce qui se passe après mon départ ne relève que d'eux, il devrait déjà être heureux d'avoir pu connaître ce que je leur ai offert.

En un millénaire, j'ai eu le temps de visiter l'Afrique, l'Europe et l'Asie, toujours en changeant de visage, de sexe et – bien évidemment – de nom. Je commençais à me lasser de ces vieux continents lorsque les humains eurent enfin l'idée de découvrir l'Amérique : un nouveau terrain de jeu à conquérir et dans lequel j'y restai un siècle ou deux avant de revenir à mes vieilles amours en Europe. Si je dois être tout à fait honnête, je trouvais tout cela amusant, mais… un peu ennuyeux. L'éternité commençait à devenir longue à toujours vivre les mêmes choses : nouvelle rencontre – ou parfois nouvelles rencontres, pourquoi se contenter d'une seule personne à la fois –, découverte de la sensualité avec cette personne, couper court à tout ça, recommencer. Qui plus est, depuis le fils que j'avais fait avec Aristippe, je n'avais pas enfanté à nouveau, trouvant diverses moyens pour éviter de mettre au monde un demi-dieu - peut-être bien que je mis certaines personnes enceinte en revanche, mais j'étais toujours loin bien avant de le découvrir.

Le XVIIe siècle arriva avec une certaine lassitude qui contredisait ma doctrine à l'incitation au plaisir. Ce fut à cette période-là également que ma route croisa celle de ma grand-mère, la belle Aphrodite. Ce n'était pas la première divinité sur ma route en toute cette existence humaine, mais la première fois que je la revoyais elle et ce ne fut pas sans bonheur. J'avais toujours apprécié la déesse de la beauté et de la séduction, un pouvoir corrélé au mien dans le fond ; je suis sa suite logique. De mes parents, je me suis toujours dit que je tenais plus de mon père que de ma mère ; et que lui-même ressemblait plus à sa mère qu'à son père.
La fréquenter fut l'occasion de longues discussions entre nous. À l'époque, j'étais connue sous le nom de lord Matthew Whymper et j'avais accumulé au fil des années une intéressante fortune qui me donnait envie de m'installer un peu plus longtemps qu'à mon habitude dans cette identité. Il m'arrivait encore parfois de changer de visage, mais le temps de quelques semaines lors de prétendus voyage du lord, pour m'amuser un peu. Et, surtout, je passai beaucoup de temps avec Aphrodite.
L'une de nos conversations fut décisive : contre ma lassitude elle me demanda pourquoi je n'avais jamais essayé ce que mon père lui-même prônait pourtant : le désir et la passion. Je descendais pourtant d'une si belle histoire d'amour pour laquelle ma mère s'était tant battue, pourquoi ne pas chavirer à mon tour dans l'amour ? Et puis, qu'est-ce que je pouvais bien risquer, de toute manière ? Avec l'éternité devant soi, on ne peut pas vraiment perdre son temps. Et qu'y a-t-il de mieux que l'amour pour faire fuir l'ennui ?
Alors je suivis ses conseils et me laissai porter par ce jeu – attention, sans user de mon pouvoir. Mon intérêt se porta sur une jeune duchesse promise à un autre, parce qu'il ne fallait pas non plus que le jeu soit trop évident. La conquérir me prit du temps : je devais puiser dans la poésie, la pensée, l'humour, de longues lettres pour la convertir à une passion envers moi plutôt qu'envers celui à qui elle était fiancée. Ce n'était pas seulement son amour que je devais convaincre, mais il fallait aller au-delà, la faire tomber dans cette société qui ne souffrait pas qu'une femme puisse s'éprendre librement au dépit de son rang et des alliances. D'abord j'échouai plutôt lamentablement puisqu'elle épousa cet autre qui me concurrençait. Mais ça eut au moins le mérite de me divertir ; je n'ai jamais été du genre à abandonner.
J'aimerais prétendre que je dois ma victoire à mon charme et mon intelligence, mais je la dois surtout à la dysenterie qui emporta son mari au bout de sept ans de mariage. Veuve, le cœur était plus facile à saisir et il me fallut encore trois ans pour qu'elle accepte enfin de m'épouser.

Ce fut merveilleux et vertigineux à la fois. Aphrodite avait raison ; moi, Hédoné, j'étais tombée amoureuse et le plaisir que j'en retirais était, je dois bien l'avouer, différent de celui que je prenais à voir les humains sombrer dans mon pouvoir. J'aimais d'une force qui emporta tout pendant cinq années à ses côtés, cinq années au bout desquelles notre amour se matérialisa sous son ventre rond. Pour la seconde fois, j'allais devenir parent et cette nouvelle m'emplissait d'une joie étonnante.
J'avais révélé à celle que j'aimais ma véritable nature, celle que j'étais sous cette enveloppe de lord Whymper. Par curiosité, elle m'avait demandé d'utiliser son pouvoir sur elle, mais j'avais refusé ; je m'étais fait cette promesse et comptais bien la tenir pour le restant de nos jours ensemble.
Pourtant, je la rompus. C'était une nuit noir et funeste. Les cris de ma dulcinée transperçait la chambre et les médecins l'entourait alors qu'elle s'efforçait de faire naître le fruit de notre amour. L'entendre hurler ainsi me crevait la poitrine, mais qu'y pouvais-je alors ? Et puis c'était passager, moi-même j'avais connu l'accouchement, je savais que la délivrance serait un soulagement et un bonheur, celui de connaître notre enfant, un plaisir peut-être encore plus grand que ceux que j'étais capable de prodiguer ; bien différent en tout cas. Mais la scène durait et durait toujours, le sang coulait et quelque chose n'allait pas.
Les médecins étaient formels : il fallait pratiquer une césarienne pour extraire l'enfant. Mais en 1694 les conditions étaient bien différentes des hôpitaux actuels ! Les chances de survie étaient si faible. si absurdes. Je compris dans le regard du médecin que mon monde s'effondrait là, qu'il n'y avait encore que la souffrance devant le peu de temps qu'il restait à la femme de ma vie. Alors je pris sa main, lui insufflant ce pouvoir que je m'étais toujours refusée d'exercer sur elle. Pour qu'elle oublie. Pour qu'elle puisse partir en oubliant la douleur qui la martyrisait.
L'enfant que nous avons eu, je ne sais rien de lui. Ou d'elle, d'ailleurs, même ça je ne le sais pas, je l'ai refusé dès les premiers instants, le laissant au bras d'une nourrice. Le lendemain matin, j'avais fui cette horreur, tout le sang qui avait coulé, et ce nourrisson qui avait tué celle que j'aimais.

Je reniai lord Whymper, ma fortune, mes terres, et Aphrodite. Elle m'avait vendu un mensonge horrible duquel je ne parvenais pas à m'extraire : aimer c'était s'exposer à la souffrance, et comment le plaisir pourrait se laisser tomber dans cet horizon-là ? Il n'y avait rien de pire que l'amour. Rien.
Vagabonde, je retombai dans mes travers, plus cruelle encore ; briseuse de couple, manipulatrice, mais cela m'importait peu. C'était toujours moins pire que ce que j'avais vécu, je libérais même les humains de cette chimère qu'était l'amour ! Avec moi ils connaissaient le plaisir dénué de sentiments, je les sauvais ! Et puis je n'étais pas si mauvaise dans le fond, pendant la seconde guerre mondiale j'accompagnais les soldats dans leur dernières heures, pour les porter vers la mort en leur insufflant un peu de plaisir : ultime combat entre l'héritage d'Eros et celui de Thanatos, guerre des antagonistes. Cela m'ouvrit une vocation dans les soins palliatifs que je conservai quelques décennies. Puis je me lassai, à nouveau.
Mon retour en Amérique commença par le Canada. Toronto était une ville assez grande pour m'y amuser quelques temps et j'y rencontrai d'ailleurs une jeune femme qui, comme tant d'autres fut séduite par le plaisir que j'avais à offrir. C'était particulièrement facile avec elle ; j'étais loin d'être son premier vice, j'étais le plus puissant cependant, et quand six mois après notre première rencontre je lui refusai sa dose, elle préféra sauter sous un train. La veille, elle m'avait hurlé dessus, espérant me faire changer d'avis : À quoi bon vivre sans plaisir ?

Je ne l'ai pas pleurée ; pourquoi l'aurais-je fait ? Au contraire, j'en ai profité pour reprendre son identité. Encore une fois, ça peut paraître cruel, qu'importe. Après tout je suis également la petite-fille d'Arès, il faut croire qu'une part de violence coule en tout plaisir. Et puis au moins avais-je offert à cette femme un pan de paradis avant qu'elle ne file au royaume d'Hadès.
J'aurais pu continuer à faire vivre cette identité au Canada, mais cette femme y avait trop d'attaches, ce n'était pas vraiment plaisant. Et puis quelque chose m'attirait sans que je puisse vraiment l'identifier ; un jour je pris un car sans savoir vraiment où il allait et le lendemain je me réveillai à New York. Pourquoi pas ?
Nouvelle ville et nouvelle vie. Un endroit fait de building et de liberté, l'occasion de continuer à m'amuser des plaisirs des autres.
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Anonymous
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MessageRe: Zoe - Pleasure is mine || Zoe - Pleasure is mine Empty06.09.22 8:52
Ma très chère petite fille, je suis très heureuse de te voir ici et j'ai terriblement hâte de jouer avec toi 😍
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Anonymous
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MessageRe: Zoe - Pleasure is mine || Zoe - Pleasure is mine Empty06.09.22 9:57
Oh lala je suis fan, j'ai lu que le début de la fiche mais je suis séduite, trop hâte de la voir en jeu!  aaah
Hermès veut savoir si il peut l'épouser? Il sera fidèle!...s'il y arrive
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Anonymous
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MessageRe: Zoe - Pleasure is mine || Zoe - Pleasure is mine Empty06.09.22 19:54
Hello, contente de voir une copine de l'Olympe ! Hâte de faire les quatre cents coups ensemble ! What a Face
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Apocryphos
The hidden one
Apocryphos
MESSAGES : 1219
DATE D'INSCRIPTION : 22/10/2020
MessageRe: Zoe - Pleasure is mine || Zoe - Pleasure is mine Empty07.09.22 16:12
Validation


Félicitation, ta fiche est validée ! Prends un instant pour apprécier cette victoire... Ok, ça suffit, c'est l'heure d'aller visiter New York
Tu trouveras ci-dessous quelques informations essentielles à ta bonne installation parmi nous :

Première étape, remplir ton profil et poster ton Journal, afin que chacun puisse rapidement connaitre ton personnage.

Pour toute la gestion de ton personnage, tu pourras faire tes demandes par ici. Et pour ce qui est des points, ça se passe par là.

Nous te conseillons de surveiller les Annonces, c'est là que nous vous informerons de toutes les nouveautés. Et bien sûr, si jamais tu venais à t'absenter, n'oublies pas d'en informer tes partenaires en postant là-bas.

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Bon jeu ! Superman
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